Hier Glop.

Aujourd'hui pas glop pas glop...

Concrétement: La nuit s'est passé quasi bien à part les infirmières (mais c'est leur job) qui passaient toutes heures et l'appareil tout beau tout ,neuf qui donne de la Naropéine, pour lequel il est dit qu'il faut mettre des piles neuves à chaque patient, qui a sonné toutes les 5 minutes pour dire que les dites piles n'avaient pas été mise neuves...

Pourtant j'avais conclus un accord "pas d'augmentation de salaire depuis 10 ans contre un séjour de qualité avec des appareils neufs". J'm'ai fait eu. Demain je veux une rallonge.

Puis un apport de croissants pour le petit déjeuner (désolé mesdames je suis déjà marié) par ses filles et moi vers 8h00. Même si 8h00 c'est un peu tard pour le p'tit déj dans son hotel l'attention a fait son effet.

Après vient le "pas glop", il a fallu s'assoir et de l'assis pendant 2'' vers 9h00 à 17h30 grande douleur!!!

C'qu'on peut dire comme bétise quand on a mal (Virginie regrettait presque de s'être faite opérée).

La conso de morphine en a pris un coup mais pas assez.

La naropéine était là aussi avec ses piles neuves mais pas mieux.

Heureusement "UPSA est là, un Perfalgan est la douleur s'en va". Dire que c'est ma femme qui est dans la pub y a des talents (surtout le mien) qui se perdent.

 Aprés c'est bien plus facile quand Virginie n'a pas mal de rester à coté du lit.

Eh oui nouvel adage:" Plus celui qui est couché souffre, plus celui qui est à coté se sent impuissant, bête, inutile..." C'est de moi et c'est à moi que cela s'applique en 1er.

Donc après c'est "plus belle la vie" et au lit. Ah le sommeil réparateur....

Con séquence: Merci de ne pas venir en visite ce mercredi.

Et tanpis si vous ne lisez ce mot qu'en sortant de la clinique (car j'ai beaucoup de mal à dire à vous qui lisez).