Le thème est et doit rester "ça va passer".

Mais quand même, pour revenir au marathon comme quand tu cours, que ça fait mal qui tu te dit que l'arrivée est trop loin, A ce moment là il faut pas baisser la garde et se dire "en être là pour lacher maintenant! jamais". Et bien voilà ce truc puissance 10 et on trouve à peu près l'état du 96 rue L., donc on est au moment où ça fait super mal, que les pensées noircissent, moment nécessaire (?) pour passer à la suite tout de suite SVP.

CA VA PASSER. je vais être obliger d'aller relire  pour moi l'un des mots déjà bien plus bas dans ce blog.

En aparté j'ai découvert un puissant anesthésique: la télé. P. Lelay de TF1 a ou aurait déclaré qu'il vendait à Coca des espaces libres dans les cerveaux. Avant de passer au vidage de mon cerveau, je me sert de la télé comme d'un anesthésique puissant (m^super puissant vu la nullité du contenu!). D'un autre coté elle tue aussi un peu le blog.

Je me demande à l'instant si ce ne serait pas le courage qui me fait défaut. Attention la lacheté me guette. Plus je m'occupe bêtement (pas comme tout de suite) moins je pense (c'est là que c'est lâche). Mais en plus (encore plus) il faut que je me fatigue: passque pas fatigué = pas dormir... Veiller = penser. Penser=... donc télé en veillant finit par faire dormir.

Quand je dis "ça va passer" c'est avec certitude!

C'est pas le "ça va passer" souvent accompagné de "c'est rien".

C'est "ça va passer" comme le navigateur le pense en regardant la dépression sur sa carte météo!

Parce que si ça ne passait pas passer il n'irait pas!

"ça va passer".

On rentre peu la tête dans les épaules, on s'accroche, on serre les fesses (je sais pas pourquoi d'ailleur), et surtout ON Y CROIT.

Encore une phrase à ajouter (j'sais pas où... un porche d'église(?)): Si tu n'y crois pas, n'y vas pas.

Comme Virginie (en 1) les filles (2) et moi sommes obligés d'y aller alors "ça va passer"!